Gisèle

Une vie déchirée par la lèpre,
le visage de notre campagne 2025

Dr Defiah Paka

Médecin conseil de la Fondation
au Tchad

Eliott, 20 ans

Jeune bénévole à la Fondation

Journée mondiale de la lèpre les 24, 25 et 26 janvier 2025 :
la lèpre infecte encore 1 personne toutes les 3 minutes !

 

Ce n’est pas qu’une statistique. C’est l’histoire de Gisèle et de 3 millions de vies brisées par ce mal lent et silencieux. Des vies marquées à jamais par les handicaps, la stigmatisation et l’exclusion.

Soins, dépistage, formation des soignants, accès à l’eau et à l’hygiène, renforcement des systèmes de santé…Grâce à vous, nous agissons contre ce fléau, ses causes et ses conséquences.

Ensemble, un monde sans lèpre est possible.

nouveaux cas de lèpre dépistés chaque année dans le monde

de personnes vivent avec des séquelles visibles dues à la lèpre selon l'OMS

pays ont notifié des nouveaux cas de lèpre en 2023 parmi les 184 pays ayant fourni des statistiques à l'OMS

bénévoles se mobilisent en France pour la Journée mondiale des malades de la lèpre

Lutte contre la lèpre : un combat contre la maladie et l’oubli

Eliminer une maladie méconnue et négligée 

Depuis plus de 70 ans, la Fondation Raoul Follereau agit pour éliminer cette terrible maladie qui abîme et déchire des vies encore aujourd’hui.

Notre mission : être chaque jour aux côtés de ceux qui souffrent.

Nous travaillons en étroite collaboration avec les gouvernements et, avec l’aide de nos partenaires, nous veillons à impliquer les communautés pour que, tous ensemble, ils puissent être acteurs de leur propre changement.

La Fondation et ses partenaires locaux en marche vers un monde sans lèpre

Nous agissons dans 14 pays en nous adaptant au contexte, et de manière prioritaire : la Côte d’Ivoire, le Bénin, le Tchad et Madagascar.

Nous soutenons plus de 100 projets de santé sur le terrain dont une quarantaine de centres de soins et de prise en charge (hôpitaux, dispensaires, léproseries…). 

Avec l’appui de notre commission médicale de haute expertise, nous sommes en tête des organismes internationaux qui interviennent dans la lutte contre la lèpre.

Au-delà des soins et de la prise en charge médicale, nous sommes présents sur le terrain pour combattre la lèpre en intégrant les maladies tropicales négligées cutanées, en s’attaquant aussi à leurs causes et à leurs conséquences.

Campagnes de sensibilisation et de dépistage, recherche, mais aussi programmes de scolarisation, de formation et de réinsertion professionnelle…Dans l’objectif d’un monde sans lèpre, nous contribuons à réduire de façon significative les souffrances causées par la maladie en intervenant sur 7 piliers fondamentaux.

«A quoi bon guérir un malade de la lèpre si, dans notre cœur, il demeure encore ‟un lépreux‟… Ce malade, il ne suffit pas de le guérir pour le sauver. »

Raoul Follereau

Raoul et Madeleine, une vie d’Amour et de lutte 

Raoul et Madeleine Follereau ont fait 32 fois le tour du monde pour apporter secours, espoir et vie « aux plus douloureuses minorités opprimées de tous les siècles », comme ils appelaient les lépreux.

Raoul Follereau a prononcé des milliers de conférences pour informer les instances internationales, les chefs d’Etat et le grand public de la scandaleuse situation de ces malades maudits, rejetés de tous.

Par son amour convaincant, communicatif et son opiniâtre ténacité, il a renversé ces barrières séculaires de préjugés, d’égoïsme et rendu leur dignité humaine à 15 à 20 millions d’hommes et de femmes, en faisant, notamment, abolir les lois qui, dans la plupart des pays, les mettaient au ban de la société.

En 1954, Raoul Follereau a créé la Journée mondiale des malades de la lèpre pour que le combat continue.

Tous ensemble pour un monde sans lèpre !

Faites un don et aidez-nous à agir avant, pendant et après la maladie.

Participez à cet élan de générosité et rejoignez nos 6 000 bénévoles de la Journée mondiale des malades de la lèpre.

Aidez-nous à relever tous les défis !

La lèpre, maladie stigmatisante, continue de toucher des milliers de personnes chaque année, principalement dans les pays en développement. Si les traitements et la prise en charge progressent un peu partout, les difficultés sont, elles, toujours bien présentes sur tous les terrains. On vous explique ici.

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Crédits photosTom Yann, Marie-Charlotte Noulens, Osanne Darantière, IDC Média, Fondation Raoul Follereau